[chapo]Aujourd’hui est une occasion particulière puisque cela fait un an déjà que le blog Heureuse en amour existe. C’est pourquoi j’ai décidé d’inaugurer une nouveauté sur le blog: voici donc ma toute première vidéo. Je vous remercie pour votre indulgence, ce n’est pas un exercice facile! [/chapo]
Dans cette première vidéo, j’ai interviewé Alexandre Cormont sur son métier de coach, qu’il exerce depuis 5 ans au sein de son agence.
Vous pouvez regarder la vidéo ou lire la transcription de l’interview en texte juste en-dessous de la vidéo, selon vos préférences.
Ps: Désolé pour la musique en fond sonore, c’était la musique qui était diffusée dans le lieu où nous nous trouvions.
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Transcription texte de la vidéo.
Marina:Bonjour , bienvenue sur Heureuse en amour, je suis Marina auteur de ce blog. Donc aujourd’hui je vais vous présenter Alexandre Cormont qui est coach en séduction et en relations amoureuses.
Alexandre Cormont: Bonjour Marina, merci de m’accueillir pour cette interview sur ton merveilleurx blog.
Marina: Alors, est-ce que tu pourrais nous expliquer rapidement ton parcours?
Alexandre Cormont: Alors mon parcours, je suis diplômé d’un master en sciences humaines, c’était des matières très généralistes qui abordaient la psychologie, l’anthroplogie, la sociologie. Et je me suis spécialisé dans un Master pour travailler dans le recrutement, donc dans les ressources humaines. Après une période de stage assez concluante, je me suis toujours dit que je voulais créer ma propre agence. Et là je me suis orienté dans le coaching en vie amoureuse parce que j’ai vu que c’était quelque chose qui se développait beaucoup aux Etats-Unis et que ce n’était pas forcément adapté à notre société française. Donc ça va faire maintenant cinq ans que je dirige une agence de coaching en partenariat avec une styliste maquilleuse. Et on travaille essentiellement sur la séduction, au niveau de la confiance en soi, de l’estime de soi et sur les relations amoureuses, donc le couple, et la reconquête dernièrement.
Marina: D’accord, donc ça a démarré avec un blog!
Alexandre Cormont: Ca a démarré avec un blog, avec des articles qu’on écrivait au quotidien, on a vu qu’une affluence est venue. Les personnes se posaient des questions, elles avaient besoin de réponse, donc c’est parti d’un blog, d’une petite communauté qui s’est créee.
Marina: D’accord, et à part le fait que ce soit tendance, qu’est-ce qui t’as donné envie d’être coach amoureux?
Alexandre Cormont: Alors en plus de cette « tendance », c’était de me dire qu’aujourd’hui on était dans une sociéte française où on ne proposait que du coaching qui venait d’Outre-Atlantique, donc pas forcément adapté à notre société. Et c’est vrai que je me suis découvert une vraie passion pour le contact humain, déjà les ressources humaines c’était destiné à ça. Mais dans le coaching, l’idée c’était vraiment de transmettre une nouvelle philosophie, un nouveau souffle. Donc pour moi, c’était quelque chose d’important d’arriver avec ma propre valeur et ma propre philosophie du coaching. Donc, ce n’était pas vraiment de suivre la tendance mais c’était pour donner un souffle nouveau. Je partais du principe qu’on n’avait pas encore tout vu dans le coaching et qu’il manquait quelque chose en France.
Marina: D’accord, et quels services proposes-tu au sein de ton agence?
Alexandre Cormont: Alors sur l’agence, on a essayé de simplifier au maximum. On propose déjà quelque chose de personnalisé. On fait très peu de coachings en groupe, ou alors on fera plus des conférences, des ateliers ou des tables rondes. Donc le service est très simple, c’est un premier rendez-vous bilan où pendant 2h on va poser énormément de questions, avoir un échange avec la personne qu’on a en face de nous:
– comprendre ses attentes
– définir ses besoins.
Et l’idée, c’est d’avoir un plan d’action à la fin de ces 2h sur 3 à 6 mois. En fait, la personne peut continuer par un accompagnement personnalisé, soit par téléphone, soit en face-à-face, soit par e-mail selon son budget, ses besoins. Donc si tu veux, on peut résumer ça en un premier entretien bilan de 2h et un accompagnement sur 3 à 6 mois avec des objectifs, avec des actions à mettre en place et un suivi régulier pour que justement on puisse voir les efforts et les résultats pour atteindre les objectifs.
Marina: D’accord, donc les suivis peuvent se faire soit par mail, soit par téléphone, ça peut-être divers moyens?
Alexandre Cormont: Ca dépend vraiment du besoin de la personne, de la situation puisqu’on est aussi sur de la séduction, de la vie de couple, de la reconquête. Ce n’est pas pareil. Par exemple, la séduction on va voir sur du moyen long terme, la reconquête on est sur de l’urgence, on est sur du tout de suite. On va peut-être suivre la personne tous les jours pendant une semaine. Là où sur la séduction on va attendre 2 ou 3 semaines avant de recontacter la personne. Tout dépend vraiment du profil et de ce que le coaché attend.
Marina: Donc c’est adapté à chaque besoin: c’est adapté aux besoins financiers, à la situation du moment. Est-ce que le coaching est adapté à tous les budgets, est-ce que n’importe qui peut se faire coacher?
Alexandre Cormont: N’importe qui peut se faire coacher. Aujourd’hui on a des étudiants voire même des lycéens qui peuvent se faire coacher. Alors forcément, ils n’ont pas le même rythme qu’une personne qui va vouloir m’avoir au téléphone tous les jours. Mais on arrive à fournir à n’importe qui, donc à « tout le monde » quelque chose de précis et qui convient à ce qu’ils attendent. C’est-à-dire qu’on va vraiment définir avec eux le plan d’action pour qu’il soit validé et qu’après on puisse proposer un accompagnement facile et concret.
Marina: D’accord, et donc je me posais une question concernant les personnes qui font appel à toi. Est-ce qu’il y a une majorité d’hommes ou de femmes et la tranche d’âge?
Alexandre Cormont: D’accord, bizarrement on est sur du coaching en séduction donc qui s’adresserait peut-être plus aux hommes. Et non, finalement ce sont plus les femmes qui font appel à nous.
Marina: Ah bon, je pensais que c’était l’inverse en fait.
Alexandre Cormont: On a 65 à 70% de femmes qui vont nous faire confiance. Pourquoi? Je pense qu’elles ont plus la capacité de se remettre en question là où l’homme est vraiment plus fier. Et la tranche d’âge, c’est les 25-35 ans. On peut penser que le coaching est réservé aux personnes qui sont très mal dans leur peau. Eh bien moi je me suis aperçu que non. Je coache énormément d’experts comptable, de cadres, de personnes qui ont cette faculté de réussir tout dans leur vie mais qui en amour ont vraiment une timidité dès qu’il faut aller parler au sexe opposé. Ils se mettent une pression énorme parce qu’ils pensent séduction et du coup qu’il faut prendre un petit peu de recul pour penser à autre chose que de prendre un numéro ou d’embrasser tout de suite.
Marina: Donc c’est une tranche d’âge relativement jeune et je suis étonnée moi-même qu’il y ait plus de femmes.
Alexandre Cormont: Eh bien, bizarrement, moi aussi c’est vrai que quand je me suis lancé c’était destiné aux hommes et je me suis aperçu petit à petit que non. Les femmes avaient vraiment cette capacité à se remettre en question, à faire appel à un coach et à se livrer totalement. Alors c’est vrai que les hommes qui font cette démarche se livrent également. Ce n’est jamais simple, il faut savoir se remettre en question, parler à un inconnu de son passé, de sa situation. Mais les femmes le font beaucoup mieux j’ai l’impression cette remise en question. Et pour elles c’est plus naturel de faire appel à un coach qu’un homme. L’homme va toujours avoir tendance à cacher des petits détails alors que les femmes ont tendance à s’ouvrir plus facilement.
Marina: D’accord, les femmes arrivent à s’ouvrir plus facilement. C’est peut-être plus facile de les suivre alors, non?
Alexandre Cormont: Plus facile, je ne sais pas. Parce que les hommes vont suivre le plan d’action de manière très précise alors que là les femmes vont très souvent se laisser emballer par leurs émotions, suivre leurs propres actions.
Marina: Ca c’est vrai!
Alexandre Cormont: Donc on peut appeler, demander si les objectifs ont été atteints et d’un coup on nous dit: « mais non, mais j’ai fait comme-ci parce qu’il m’avait appelé, parce qu’il m’avait dit ça! ». Donc ce n’est pas plus simple à gérer mais c’est tout aussi intéressant. C’est vraiment un métier qui est passionnant, qui est très très intéressant. Et que ce soit les hommes ou les femmes, c’est toujours une première expérience. C’est l’avantage en fait, quand on va en coaching on ne sait jamais ce qu’on va dire à la personne et on a toujours cette part de recherche et de création. A chaque personne, un objectif et un plan d’action. C’est vraiment passionnant.
Marina: Et donc ce n’est pas un peu décourageant d’aider une personne et puis de voir que derrière elle a un peu saboté ce qu’on lui avait proposé de faire?
Alexandre Cormont: Non justement, et ça c’est vraiment le coeur de ma philosophie donc je vais un peu insister là-dessus! C’est de dire que chaque personne est unique et que je n’ai pas envie de faire un coaching où je vais lui demander de changer sa personnalité. C’est-à-dire que dans mon coaching, je laisse une part de « tu dois agir comme tu veux et moi je serai là pour rattraper la situation, si besoin ». Donc c’est très important qu’elle se sente elle-même, qu’elle puisse faire des erreurs parce que c’est dans les erreurs qu’on apprend. Moi je ne suis pas un grand manitou, c’est-à-dire que je ne connais pas tout sur tout. Par-contre, je vais être là pour trouver des solutions quand il y a une problématique. Donc j’ai envie que les personnes puissent se tromper d’elles-mêmes et qu’on mette en place derrière un réajustement et qu’elles se sentent d’autant plus impliquées. Les erreurs, ça devient encore plus passionnant puisqu’on est vraiment sur une relation intime de coaching et qu’on n’est pas sur le rapport de « je te transmet ou je t’apprend quoi faire ». On ne peut pas transmettre.
Marina: En fait on n’impose pas à la personne des décisions…
Alexandre Cormont: On ne peut pas imposer, je dis souvent cette phrase: « je n’impose rien, je guide seulement ». C’est à la personne de trouver les ressources intérieures mais si elle a fait la démarche de voir un coach elle les trouve toujours.
Marina: D’accord, donc en fait ton rôle c’est de te réadapter en permanence, déjà à la situation puisqu’elle peut être changeante au fil des différentes séances et aussi à l’état d’esprit de la personne qui peut changer.
Alexandre Cormont: On peut passer du tout au tout et le but du coach c’est ça, c’est de savoir se réadapter à la situation et s’oublier. C’est-à-dire qu’il faut être capable d’oublier la personne qu’on a vu le matin quand on la voit l’après-midi ou quand on en voit une autre. Pourquoi? Parce qu’on a tendance à réitérer les mêmes conseils mais on a deux personnalités différentes qui sont en face de nous. Donc il faut savoir s’oublier, reprendre de zéro à chaque fois. Une nouvelle séance de coaching, c’est vraiment reprendre à zéro ce qu’on a fait et repartir sur de nouveaux objectifs. C’est pour ça qu’on a un contact régulier mais quand même espacé. On ne peut pas avoir un contact tous les jours, tous les jours parce que sinon la personne devient dépendante au coaching et elle pense qu’on détient toutes les réponses, ce qui est faux. On ne détient pas les réponses, par-contre on a des outils pour leur permettre de trouver intérieurement les réponses à toutes leurs problématiques. Donc, on parle de coaching en vie amoureuse mais on pourrait aussi parler de coaching en développement personnel tout simplement.
Marina: Donc c’est un petit peu ça aussi le danger du coaching, c’est le fait d’avoir l’impression que c’est une solution miracle, non?
Alexandre Cormont: C’est le plus gros des dangers. Le plus gros des dangers c’est ça, c’est de se dire « c’est pas grave je peux appeler mon coach, il va me trouver une solution ». Alors oui, on peut trouver une solution mais ça se fera toujours ensemble. Et après (le plus gros danger) c’est la dépendance, c’est-à-dire toujours poser la question « qu’est-ce que je dois répondre? » « qu’est-ce que je dois dire? » « qu’est-ce que je dois faire? ».
Marina: Alors que cette réponse peut venir d’eux-même, en fait.
Alexandre Cormont: Elle ne viendra pas du coach, ça c’est sûr. On ne peut pas être sur une séance où on va demander à un coach de tout faire pour nous. Pourquoi? On n’est plus du tout sur une séance de coaching justement. Il faudrait inventer un nouveau terme: on va « apprendre de l’autre ce qu’on doit faire ». Et là, ça devient tendancieux. Heureusement, j’arrive à mettre des barrières tout de suite et la philosophie qu’on arrive à transmettre, c’est-à-dire de prendre la personne et révéler son potentiel, fait qu’on ne tombe jamais dans ce genre de situation. Ou du moins, quand on s’en rend compte, on dit tout de suite « stop ».
Marina: Et donc, comment fais-tu justement pour poser tes limites face à ces gens-là qui sont accrocs?
Alexandre Cormont: Eh bien, je pense qu’on part sur une relation de confiance, donc après on dit tout. Déjà on est capable de tout dire, c’est-à-dire que le coaché doit tout me dire et moi je dois être capable de tout lui dire. A partir du moment où je me rend compte qu’il y a peut-être des limites qui sont dépassées, qu’il faudrait qu’il prenne des initiatives, qu’il prenne son envol, je lui dis tout simplement qu’à partir d’aujourd’hui pendant une semaine on ne va pas se contacter et qu’il va être capable de prendre son envol. Et à la fin de la semaine, généralement il me remercie et il prend son envol pendant un certain temps. C’est-à-dire qu’il ne va pas nous recontacter pendant 1 ou 2 mois, puisqu’il s’est rendu compte qu’il trouvait tout seul les ressources intérieures. C’est ça le but du coach aussi, c’est de ne pas rentrer dans un esprit fermé et d’ouvrir vraiment la porte à plein de solutions. Ca peut être aussi de dire « on arrête le coaching pour que tu puisses prendre ton envol maintenant.
Marina: Donc c’est plutôt toi qui décides le moment où une personne n’a plus besoin d’être coachée?
Alexandre Cormont: Je ne dirai pas ça, c’est un commun accord. C’est un commun accord avec la personne mais elle s’en rend compte elle-même. Et les personnes se rendent compte aussi qu’elles sont dans une dépendance au coaching et je fais en sorte que ça n’arrive pas. Mais c’est forcément arrivé en 5 ans d’expérience. Donc elles se rendent compte d’elles-même et tout de suite on met des barrières. Et tout de suite on prend un peu de recul et ça repart de plus belle après sur du coaching ou bien sur un envol qu’ils ont pris eux-mêmes, ou qu’ils sont capables de fixer leurs propres objectifs, leurs propres plans d’action et là, à partir de ce moment là on n’a plus besoin du coach. Le coach est satisfait puisqu’il a rempli sa mission.
Marina: Et je voulais parler un petit peu du relooking (au sein de l’agence) parce qu’on parle beaucoup du coaching mais au niveau du relooking est-ce qu’il y a des gens qui ne viennent que pour ça par exemple?
Alexandre Cormont: Alors oui, pourquoi? Parce qu’on a une agence de coaching dont je m’occupe et de relooking qui est dirigée par mon associée qui est maquilleuse et styliste professionnelle. On parle de relooking parce que c’est un mot qui est ancré dans notre société mais en fait c’est plus du conseil en image. Au niveau de la séduction, c’est énorme. Pourquoi? Parce qu’on parle essentiellement de confiance en soi, d’estime de soi donc il faut arriver à se trouver, à se positionner par rapport à la société mais aussi par rapport à nous. Et forcément, l’image qu’on transmet est très importante dans la séduction parce que toutes nos actions sont dictées par le regard des autres. Et c’est malheureux aujourd’hui dans notre société, on essaie de changer grâce au coaching, grâce au relooking. Mais forcément, il y a un lien pour retrouver confiance de pouvoir exercer, non pas le relooking c’est-à-dire comme on le voit à la télévision où on vous prend et on vous transforme, mais vraiment de travailler sur toute la communication à la fois corporelle, non corporelle, donc le langage corporel c’est important. On ne parle pas uniquement de relooking où on vous transforme dans le magasin, il y a tout un travail à faire sur soi, sur comment se présenter par rapport aux autres et surtout comment on souhaiterait se présenter. Par exemple, aujourd’hui il y a des personnes qui souhaitent se présenter de manière très fun et qui ont un visage fermé, qui ne comprennent pas pourquoi les autres ne leur sont pas ouverts. Et l’idée c’est de travailler sur cet axe-là en disant: « on va travailler sur votre communication et sur votre image globale, à la fois verbale et non verbale.
Marina: D’accord, alors moi j’ignorais qu’il y avait cette partie en fait de la démarche, de l’allure…
Alexandre Cormont: Oui, alors dans ce cas là c’est parce qu’on est vraiment dans un état d’esprit qui je dirais est influencé par la télévision aujourd’hui. La télévision montre un peu le coaching séduction comme elle le veut, montre le relooking comme elle le veut mais derrière il y a des philosophies qui sont beaucoup plus percutantes, qui sont beaucoup plus développées que ce qu’on peut montrer dans un reportage de 30 minutes seulement. Donc, oui il y a cet aspect vraiment d’image globale qui est développé.
Marina: Donc on s’occupe de la personne dans sa globalité puisqu’on ne va pas s’arrêter que sur l’apparence.
Alexandre Cormont: On ne peut pas s’arrêter uniquement à l’apparence, ce n’est pas possible puisqu’encore une fois on se base par rapport à la personne qu’on a en face de nous, par rapport à sa personnalité. On a besoin qu’elle se sente bien donc qu’elle se développe dans son ensemble et pas uniquement sur cette histoire de vêtement. On ne reste pas uniquement sur le vêtement. On va explorer toutes les facettes de la communication justement.
Marina: D’accord, donc j’aimerais savoir si tu as eu des retours de personnes coachées, parce que ça fait quand même 5 ans que tu exerces. Est-ce que certaines personnes ont trouvé l’amour, est-ce que certaines personnes ont vu leur situation s’améliorer grâce à toi?
Alexandre Cormont: Alors concrètement on a énormément de retours dans la reconquête, quand je dis retours ils peuvent être positifs ou négatifs. On est sur une situation où à peu près 50% des personnes arrivent à récupérer leur ex, ce qui est très positif parce qu’1 personne sur 2 c’est dans des situations qui sont très souvent compliquées. Par rapport au coaching séduction, la plupart trouvent l’amour. Alors, je ne dirais pas à court terme mais au moins à moyen-long terme, parce que trouver la bonne personne c’est compliqué. Rencontrer quelqu’un, je ne dirai pas que c’est simple mais aujourd’hui il y a des outils qui nous permettent de rencontrer du monde. Rencontrer la bonne personne, c’est plus compliqué. Et on a de la chance sur une agence comme celle où on est, c’est-à-dire qu’on ne propose pas du satisfait ou remboursé. Mais si on n’a pas atteint certains objectifs, nous on est capable de se remettre en question. Donc on propose des mois d’accompagnement gratuit derrière, ce qui fait qu’on atteint toujours les objectifs.
Marina: D’accord, donc si la personne n’est pas totalement satisfaite?
Alexandre Cormont: Si on n’a pas atteint l’objectif, c’est différent. C’est-à-dire que la personne qui vient nous voir en disant « je veux trouver l’amour », on lui dira: « déjà ce qu’on va faire c’est travailler sur ta confiance en toi. On va t’aider à te positionner par rapport à la société pour rencontrer des personnes. » Par-contre, trouver la bonne personne on ne peut pas le garantir, ce n’est pas possible. Par-contre, ce qu’on va pouvoir garantir c’est « si jamais vous êtes capables de rencontrer une personnes qui peut vous intéresser, vous la séduirez. » Oui, ça c’est un objectif. Mais, est-ce que vous allez trouver l’amour et fonder une famille, on ne peut pas le garantir, ce n’est pas possiblle.
Marina: Oui, ça c’est sur, ce n’est pas possible.
Alexandre Cormont: Mais du coup, comme on a des objectifs qui sont ciblés et qui se développent étape par étape on arrive toujours à les atteindre, et tant qu’il y en a un qui n’est pas atteint, on continue. C’est pour ça qu’on ne propose pas un forfait que au mois ou à l’heure, on propose un forfait à l’objectif, ce qui est différents peut-être des autres agences.
Marina: D’accord, mais les séances peuvent devenir très longues alors à ce moment-là…
Alexandre Cormont: Non, en fait on fait en sorte que ce soit des objectifs à court terme pour voir l’évolution. Parce que si on met un objectif à très long terme, la personne se décourage. Les objectifs c’est chaque semaine. Chaque semaine, on a des objectifs à atteindre et même l’infime petit objectif à atteindre, on prend confiance en soi, on se remotive et puis on est reparti pour la suite.
Marina: D’accord.
Alexandre Cormont: Voilà.
Marina: Alors, je te remercie Alexandre d’avoir répondu à mes questions.
Alexandre Cormont: Je te remercie Marina. Eh bien, à très bientôt et puis bonne continuation pour ton blog.
Marina: Merci, donc je vous rappelle l’actualité d’Alexandre. Donc Alexandre, on peut te retrouver sur ton site internet.
Alexandre Cormont: Mon blog personnel pour retrouver mes coachings sur alexandrecormont.com et puis en partenariat sur mon agence aide-seduction.com.
Marina: Quant à vous, n’hésitez pas à laisser des commentaires si vous avez apprécié cette interview et à très bientôt sur le blog heureuse en amour.
Intéressante interview … la musique de fond tue l’ambiance car je n’arrivais pas à bien entendre votre conversation .
Hello Marina !
Très intéressante cette vidéo ! Sauf la musique…qui effectivement empêche d’écouter sereinement !
A très bientôt !
Kenza.